Marie : Petite fille du narrateur âgée de trois ans. Douce, rose, frêle, elle a de grands yeux noirs et de longs cheveux châtains. Elle ne reconnaît pas son père lorsqu’elle le revoit dans la prison et l’appelle « monsieur »
Les magistrats : Ils sont grotesques. Le narrateur les décrit de manières caricaturales.
Les gardes-chiourmes : Des geôliers sans instruction et sans éducation qui rudoient le narrateur et les autres prisonniers.
Les spectateurs : curieux, assoiffés de sangs et acharnés contre le condamné
La mère du narrateur : Femme de mauvaise santé âgée de soixante-quatre ans
La femme du narrateur : Femme de mauvaise santé et d’esprit libre
Le prêtre : Bon et charitable, c’est un homme qui éprouve pas de compassion pour le narrateur. Il le croit impie. La promiscuité des criminels et le spectacle des exécutions l’a rendu placide.
L’huissier : Un homme insensible qui vient annoncer au condamné le rejet de son pourvoi en cassation. Il ne s’intéresse qu’à son tabac et aux nouvelles politiques sans importance. La mort ne l’émeut pas
Le prisonnier de
Le sous architecte : Un jeune homme qui est arrivé dans la cellule du condamné, à
Le nouveau gendarme de
L’espagnole : Le premier amour du narrateur. Fille à la peau brune, aux cheveux longs et aux yeux grands. Le narrateur l’appelait affectueusement Pepa.
Le bourreau : Grand, vieux, gras, il la face rouge. Il est habillé d’une redingote. Il porte un chapeau à trois cornes. La foule l’appelle Samson. Le schéma narratif :Situation initiale : L’auteur ellipse de la situation initiale afin de dramatiser l’histoire, et de mettre en exergue la question centrale du texte, à savoir la contestation de la peine de mort capitale. Mais on peut déduire à travers quelques analepsies (retours en arrière) disséminées à travers le récit cette situation initiale) jusqu’au jour du crime qui a bouleversé sa vie
Elément perturbateur : Le meurtre commis par le personnage narrateur.
Péripéties : Le jugement, l’emprisonnement, la condamnation à la peine de mort, le condamné ne recherche pas une issue qui préserve sa vie.
Dénouement : Il n y a pas de dénouement
Situation finale : L’auteur a fait l’ellipse de la situation finale pour inciter le lecteur à réfléchir. prof.ziani@gmail.com
Merci <3
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